Il y dispose de jours où l’on sent que l’on ne tiendra pas longtemps dans le calme. On a essayé. On a tout retourné mentalement. On a même consulté des tirages gratuits ou des objets un peu vagues, en espérant y déterminer une rayonnement. Mais rien. il n'est pas que l’on cherche des justifications toutes faites. C’est que l’on a e
Olivier : un voyant au appui de la précision
Il y possède des jours où l’on sent que l’on ne tiendra pas longtemps dans le silence. On a essayé. On a tout retourné mentalement. On a même consulté des tirages gratuits ou des accessoires un doigt vagues, en espérant y définir une résonance. Mais rien. il n'est pas que l’on cherche des explications toutes faites. C’est que l’o
Ce que la paroles capte dans le suspicion
On pourrait voir que la chemin restreint l’échange. Que sans le regard, sans la présence corporelle, la haut niveau de le lien s’atténue. Mais c’est faux. Dans bien des cas, la voix suffit. Mieux : elle recentre. Elle nettoie le superflu. Elle offre la possibilité d’aller plus rapidement à l’essentiel. C’est ce qui représente la f
Les faciès divers
La chambrée de bal se transformait en un biais de miroirs mouvants. Ludovico avançait doucement au niveau des internautes masqués, sentant le poids du sort anéantir sur ses épaules. Chaque glaçon qu’il croisait altérait son rayon, lui proposant un symbole d’un futur évasif, d’un passé nouveau, ou d’une transposition de lui-même qu
L’épreuve du dernier planche
La nuit tombait sur Venise, et le lieu s’illuminait par-dessous la illumination vacillante des lanternes suspendues au-dessus des transitaires. Sur la sa place San Marco, une plupart masquée s’agitait en silence, dissimulée arrière des bracelets luxueuses, glissant à travers les ruelles pavées technique poétique le large bal qui se tenait